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inhibition totale. elle-eut-ses-euh inhibition totale. j'aime. salut c'est cool vadim noël les playmobil. etc_ archives. janvier 2015 ( 3 ) décembre 2014 ( 4 ) novembre 2014 ( 2 ) octobre 2014 ( 1 ) septembre 2014 ( 2 ) août 2014 ( 1 ) juin 2014 ( 5 ) mai 2014 ( 3 ) avril 2014 ( 1 ) mars 2014 ( 1 ) décembre 2013 ( 2 ) septembre 2013 ( 1 ) août 2013 ( 3 ) juillet 2013 ( 3 ) juin 2013 ( 1 ) mai 2013 ( 1 ) février 2013 ( 1 ) janvier 2013 ( 2 ) novembre 2012 ( 2 ) septembre 2012 ( 1 ) août 2012 ( 1 ) juillet 2012 ( 4 ) avril 2012 ( 2 ) février 2012 ( 2 ) janvier 2012 ( 1 ) novembre 2011 ( 1 ) octobre 2011 ( 1 ) septembre 2011 ( 3 ) août 2011 ( 1 ) juillet 2011 ( 1 ) juin 2011 ( 3 ) mai 2011 ( 1 ) janvier 2011 ( 1 ) octobre 2010 ( 1 ) août 2010 ( 3 ) juin 2010 ( 1 ) mai 2010 ( 2 ) avril 2010 ( 2 ) mars 2010 ( 3 ) il v falloir arrêter même si c'est le seul moyen d'être au monde jeudi 29 janvier 2015 à 18:42 c'est incroyable cette capacité, cette putain de capacité, ce handicap de mes deux, que j'invente et réinvente sans me lasser, cette dépendance imaginaire si réelle dans mon ventre, c'est incroyable cette putain de capacité à dépendre d'un seul être, à mettre ma vie entre parenthèses pour un étranger qui ne daigne même pas me traiter comme un être humain, à suspendre ma vie au bout de doigts immatériels, parfois entrevus, parfois rêvés, toujours inexistants; c'est incroyable cette putain de capacité à dépendre d'un seul absent et à fermer les écoutilles. je suis peut-être incapable de vivre avec les autres, en revanche je vis toujours avec l'autre, toujours, sans cesse, en permanence, avec l'autre mais il n'existe pas. aucune alternative. comme un putain de vertige samedi 10 janvier 2015 à 20:44 tous ces infinis, tous ces trucs qui auraient pu se passer, toutes ces histoires avortées, c'est à moi de faire varier les invariants_ aucune alternative. bam sur le cahier vendredi 2 janvier 2015 à 20:05 et c'est tellement bon, c'est tellement doux, les larmes de bonheur, je vais vous graver là, tous, je vous le jure, et tout garder, tout, tout, tout, le bonheur par paquets de mille, l'amour que vous me donnez et les feux de joie dans la cage thoracique, je m'en rappellerai très fort, toute la vie, parce que, oui, oui, oui, ça en vaut la peine parce qu'il y a des moment et des êtres qui vont au-delà des espérances, au-delà de tout, et moi je vous remercierai jamais assez aucune alternative. alors allez lundi 22 décembre 2014 à 20:25 ok mais maintenant c'est fini, mais maintenant c'est parti, j'vais rayonner & puis vous verrez aucune alternative. ma collec de vampires dimanche 14 décembre 2014 à 10:03 & c'est toujours pareil, c'est toujours la même chose, vous me déchirez jusqu'à l'os et je me laisse faire. vous me sucez jusqu'à la moëlle pendant que je m'extasie sur votre violence et je vous regarde boire mon sang d'un air attendri pour me conférer l'illusion que je vous donne quelque chose. après il me reste plus rien, rien, rien, deux / trois souvenirs idiots et des fantasmes stériles, mais ça nourrit pas trop alors je reste bloquée à mon mètre soixante-dix et quelques pourri, et après qui va attraper la bouffe sur l'étagère ? aucune alternative. d'un bout à l'autre mercredi 10 décembre 2014 à 20:10 ca y est, ça y est, je crois que j'ai compris, je crois que je sais, je crois que j'ai trouvé le sens, le sens, c'est précisément de chercher où le placer. où le mettre, où l'orienter, quelles courbes lui faire emprunter une fois qu'il est construit, par les choses, les circonstances ou les autres, ou les êtres, et alors là, décider dans quels vides le placer. puisque tout est vide. choisir ce qu'il vaut la peine de féconder et laisser le reste en friche. les trucs stériles, les histoires creuses, les figurants en trompe-l'oeil. c'est peut-être normal de se tromper autant. de se tromper tout le temps. mais c'est peut-être ma faute, aussi. c'est pour ça qu'il faut décider de la fin et construire aussi sa propre téléologie, j'imagine. poser le terme & donner le sens aucune alternative. viens, car que risquons-nous ? (gmf) mercredi 3 décembre 2014 à 22:03 je crains fort d'avoir envie de mordre mes souvenirs plutôt que toi aucune alternative. on n'ira pas dire que je le savais pas samedi 8 novembre 2014 à 21:35 je passe mon temps à chercher des trucs qui existent pas, c'est pour ça que je trouve jamais rien aucune alternative. les constantes vendredi 7 novembre 2014 à 21:21 j'sais pas pourquoi, c'est toujours pareil, j'sais pas pourquoi, c'est tout le temps comme ça, c'est toujours vous, avec vos yeux qui brillent, votre espièglerie et vos éclats de rire en forme de soleil, avec vos remarques ingénues à la limite de l'insolence et votre malice qui brille à des kilomètres à la ronde, ou au moins depuis l'autre bout du couloir. aucune alternative. mais mercredi 22 octobre 2014 à 22:40 mais j'y comprends rien, j'y comprends que dalle, à ces putains d'intermittences du coeur, ou peut-être même pas, ou peut-être d'ailleurs, ou peut-être de rien, ou peut-être d'humeurs, parfois je voudrais, j'aimerais te faire mal, juste pour que tu voies, juste pour que tu ressentes, juste pour que tu imagines, parfois j'aimerais oublier que la vengeance est stérile et que certaines relations ne devraient pas donner lieu à certaines émotions, et puis parfois je me dis que si, heureusement que tout n'est pas cloisonné, et qu'en plus, j'adore me frustrer aucune alternative. né le: mercredi 17 mars 2010 a grandi le: mardi 20 octobre 2015 << après | 1 | 2 | 3 | 4 | 5 | 6 | 7 | avant >> sélectionnez une page créer un podcast '); //--